PAUVRE FRANCE
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pauvre france elle est tombée bien bas le nez dans la poussiere !!!
Par Anonyme, le 09.01.2020
c deuh la mairdeuh mé je meuh suuiie bian marre et er panden ke je fesé kk
Par Anonyme, le 08.05.2019
t’es complètement tarés andré, va te faire soigner pauvre homme
Par Anonyme, le 20.11.2018
je me nomme corine âgée de 32 ans j'habite dans le 59139 wattignies . j'étais en relation avec mon homme il y
Par corine, le 29.09.2018
lamentable petit haineux teigneux !!!
Par Anonyme, le 26.08.2018
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Date de création : 25.10.2010
Dernière mise à jour :
17.10.2011
201 articles
André ayant quitté ce monde, le blog est définitivement fermé c'était ses idées et par respect pour lui je ne désire pas le continuer
YSIS
Le blog sera en pause pour un certain temps , je ne pourrai même visiter les votres , de toute façon je suis écoeuré par tout ce qui se passe en ce moment en France . Je préfère rester dans ma chambre d'hôpital loin de toutes ces conneries. J'aimerai pouvoir flinguer tous ces cons et connes qui gouvernent notre si beau pays . Peut être que 2012 nous apportera enfin le changement qui sauvera notre pays en attendent serrons les couds si nous ne voulons pas nous faire n.... quer par ces b...gno...les de malheur .... et franchement une bonne guerre civile remettrai les pendules à l'heuresi cela ce fait je suis le1er à prendre les armes
André
Bonne reprise du travail en ce lundi annonçiateur de l'automne et bonne semaine à vous tous et toutes
ANDRE
En mémoire de ceux qui sont morts par la bêtise et la méchanceté humaine
ANDRE
Bon week end à vous tous et toutes à lundi, si le coeur vous en dit
ANDRE
A Tripoli, où les habitants contrôlent leurs quartiers, la vie économique redémarre
Il l'avait théorisée, eux l'ont réalisée. Mais sans lui, malgré lui, après lui. La Jamahirya, la fameuse "République des masses" chère à Mouammar Kadhafi, existe bel et bien, elle se trouve ici et maintenant, à Tripoli, dans cette capitale dépourvue de tête mais qui tient remarquablement debout. Ses habitants y exercent le pouvoir "du peuple, par le peuple et pour le peuple" que le Guide libyen professait dans son petit Livre vert, mais qu'il n'a jamais appliqué.
Deux semaines après la chute d'un régime de fer, il est étonnant de constater à quel point les Tripolitains se débrouillent bien sans autorité. Le contraste est frappant avec Bagdad, qui avait subi, en avril 2003, une semaine de pillages, sous le nez de l'armée américaine, avant de retrouver un semblant de calme, mais pas vraiment d'ordre, ni d'électricité. Rien de tel à Tripoli. Ici, les ministères, le musée, les écoles, les banques, les centres commerciaux et même les commissariats sont intacts, à de rares exceptions près. L'eau est toujours coupée, mais les habitants se débrouillent grâce à des distributions effectuées par camion-citerne. De jour en jour, plus de commerçants rouvrent, non sans avoir repeint leurs devantures – obligatoirement vertes sous le colonel Kadhafi – aux couleurs de la révolution. Les queues devant les stations-service s'organisent dans le calme. Et, pour parer au manque de liquidités, les banques ont commencé à distribuer 250 dinars (150 euros) par titulaire de compte.
Par endroits, les camions poubelles ont même repris du service. C'est le cas à Souk Al-Jomaa, l'un des plus grands et des plus remuants quartiers de Tripoli. Comme partout ailleurs en ville, les grands axes du quartier sont gardés par des miliciens locaux, qui ont mis en place des petits barrages tous les 300 mètres. Chaque rue est aussi barrée par des chicanes improvisées. Tout se passe dans une ambiance calme, plutôt débonnaire.
"Aucun d'entre nous n'est un militaire ou un policier,explique Ibrahim Al-Zneidi, un étudiant en économie. On fait ça pour le bien du quartier et parce qu'on n'a rien d'autre à faire. On se connaît tous. Dès qu'un inconnu passe par ici, on vérifie son coffre et ses papiers." Un peu boudiné dans son treillis flambant neuf, il patiente sous un parasol, une kalachnikov chinoise, saisie dans les arsenaux du régime, à la main. "Elle m'a été donnée par le conseil militaire du quartier. Tout est enregistré : le numéro de l'arme, le nom et l'adresse de celui qui l'a reçue. Dès qu'on me demandera de la rendre, je la ramènerai."Son supérieur, Larifi Edali, est un ingénieur pétrolier de 42 ans aux yeux bleus intenses. C'est lui qui délivre les précieux sésames, de petites fiches cartonnées imprimées aux couleurs de la révolution. Il s'est retrouvé propulsé "responsable militaire" de son quartier pour ses contacts clandestins avec la rébellion à Benghazi et Misrata. Il était l'un des rares ici à s'être procuré une kalachnikov, achetée à prix d'or (6000 dinars) au marché noir. "Quand le signal de l'attaque a été donné, le 20 août à 8heures, nous nous sommes retrouvés dans les mosquées. Tout le quartier était là. Nous n'en parlions pas parce que c'était trop dangereux, mais il était évident que nous attendions tous ce moment."Le quartier, durement réprimé en février, est tombé cette fois-ci en quelques heures ; les combattants venus des monts Nefoussa et de Misrata y ont été accueillis à bras ouverts. Soigneusement préparé par une poignée de militants et, surtout, ardemment désiré par la grande majorité des habitants, le soulèvement a pris le colonel Kadhafi par surprise, comme un tapis que les Tripolitains auraient tiré sous ses pieds.
"Le Conseil national de transition [CNT] avait donné des consignes pour éviter les destructions,confirme M. Edali. Et nous avions bien appris des émeutes en février, durant lesquelles le commissariat central avait été incendié." Repeint à la hâte par le régime Kadhafi, il est comme neuf et bourdonne déjà d'activité. Un peu plus d'une centaine de policiers ont repris du service, aidés par des thuwar, des révolutionnaires en armes. Samir Douzan, l'un d'entre eux, est particulièrement heureux de travailler ici : "La dernière fois que j'y ai mis les pieds, en 2006, je me suis fait tabasser et j'ai passé vingt-quatreheures en détention pour m'être plaint de ne pas avoir été payé par un haut gradé qui m'avait commandé une robe de mariée, raconte le commerçant. J'ai dû payer 1000 dinars de bakchich pour sortir. Si je pouvais tenir ce policier entre mes mains…" Le policier en question n'est pas revenu à son poste, comme aucun des anciens agents qui travaillaient là. "Kadhafi faisait exprès de mettre des policiers qui n'étaient pas du coin, pour éviter qu'ils sympathisent avec la population", explique Abdelhafiz Ibrahim, un policier à la retraite habitant Souk Al-Jomaa. Ses collègues sont tous du quartier. La Libye est ainsi, un immense et petit village, qui fonctionne en autarcie et où la confiance ne s'accorde qu'à ceux qu'on connaît.
Larifi Edali, le chef militaire, est inséparable du chef du comité civil du quartier, Sadik Al-Alem, ancien pilote de ligne de la compagnie privée Al-Bouraq. A 55 ans, il a été propulsé à la tête de son quartier, à cause de sa réputation de piété et de probité. "Le lendemain du soulèvement, le 21 août, nous nous sommes retrouvés le soir à la mosquée. Ceux qui étaient là ont décidé très rapidement de désigner une dizaine de responsables pour chaque sujet important: la santé, la sécurité, etc. Si l'on ne veut plus de moi, je rentrerai à la maison", assure-t-il. Sadik Al-Alem et la vingtaine de chefs de quartier de Souk Al-Jomaa ont désigné Abdel Nasser Al-Bouni, un notable, pour les représenter au conseil municipal de la ville de Tripoli, lui-même formé d'une vingtaine de membres, qui en réfère au CNT, dont le président, Moustafa Abdeljalil, est encore à Benghazi. Parallèlement, l'Unité de stabilisation de la Libye, une équipe d'une centaine d'experts sous la houlette du "premier ministre" Mahmoud Jibril, est à l'œuvre pour faire redémarrer le pays au plus vite.
Installés sous un palmier dattier chargé de grappes mûres, Sadik Al-Alem et Larifi Edali n'ont pas une minute à eux. Ils appellent les fonctionnaires pour les inciter à reprendre le travail, trouvent des locaux pour installer un centre d'aide sociale pour les plus démunis, organisent des distributions d'eau ou de nourriture aux rebelles en faction, envoient un camion au port afin de récupérer de l'aide humanitaire acheminée par un cargo maltais. Les réunions de ce conseil municipal improvisé sont publiques, et chacun a le droit d'y participer : "On ne peut pas dire aux gens “attends !” ou “tais-toi !”", justifie M. Alem. Ils ont tellement entendu cela sous le régime Kadhafi qu'ils ne le supporteraient pas." Pour plus d'efficacité, le conseil tient des réunions restreintes dans les locaux de la "police électrique", chargée sous le colonel Kadhafi de traquer les fraudeurs. Quant au comité militaire de Souk Al-Jomaa, installé dans un collège, il est déjà en train de déménager à cause de la rentrée scolaire, prévue le 17 septembre.
Christophe Ayad
Article paru dans l'édition du 06.09.11
la vie économique redémarre
Olivier Besancenot convoqué devant la justice pour "séquestration"
Olivier Besancenot et quinze autres postiers des Hauts-de-Seine sont convoqués par le tribunal correctionnel de Nanterre le 28 juin, poursuivis pour "séquestration" lors de l'occupation de la direction départementale de La Poste, à Nanterre, le 10 mai. "On est seize à être convoqués le 28 juin pour séquestration", dont des responsables départementaux de SUD-PTT, deux responsables de la CGT-92 et des grévistes syndiqués ou non syndiqués, a déclaré M. Besancenot, membre de SUD-PTT, confirmant une information du Parisienparue lundi.
"Cette démarche pénale est absurde et révoltante", a ajouté le leader du Nouveau Parti anticapitaliste, jugeant que cette procédure est "à l'image de la façon dont la direction départementale traite et réprime les conflits sociaux qui existent face aux restructurations". "La séquestration, il n'y en a même pas eu", d'ailleurs "si on avait fait une séquestration on l'aurait revendiquée", a-t-il argué, déplorant qu'"on(...) demande des sanctions financières : 1 500 euros par personne, plus 3 000 euros en solidaire".
RISQUE DE LICENCIEMENT
Mais cette convocation n'est qu'"un des aspects de la répression qui nous touche", estime le facteur de Neuilly-sur-Seine, pour qui, "concrètement, le vrai risque c'est qu'une série de syndicalistes risquent le licenciement". Des salariés grévistes de La Poste, dont certains sont en grève depuis le 26 avril, avaient occupé durant plusieurs heures, le 10 mai, les locaux de la direction départementale du groupe postal à Nanterre pour protester contre le projet "Facteurs d'avenir", qui prévoit une restructuration de la distribution du courrier dans le département.
Dans cette affaire, "le point d'achoppement", c'est le "boycott systématique des négociations par la direction départementale", qui a "même refusé la médiation des maires", fait valoir M. Besancenot. Il doit participer en début d'après-midi à un rassemblement devant la direction opérationnelle territoriale du courrier de Nanterre.
Besancenot poursuivi pour séquestration à Nanterre : décision rendue lundi
e tribunal correctionnel de Nanterre rend, lundi 5 septembre, sa décision dans le article/2010/06/14/olivier-besancenot-convoque-devant-la-justice-pour-sequestration_1372556_3224.html">procès pour séquestration et entrave à la liberté du travail engagé contre Olivier Besancenot et quatorze autres postiers après l'occupation de locaux de La Poste à N
Nanterre en mai 2010.
A l'approche du jugement, l'ex-leader du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) se dit "serein mais sur [ses] gardes", réclamant "une relaxe pure et simple" pour "laver [son] honneur après avoir été traîné devant les tribunaux pour des motifs aussi graves".
Treize employés de La Poste, majoritairement des cadres travaillant à la gestion des ressources humaines, avaient traduit les postiers devant le tribunal, les accusant de les avoir séquestrés pendant plus de deux heures lors du conflit contre le projet "Facteurs d'avenir". Ce projet national prévoit notamment une restructuration de la distribution du courrier.
Le procureur de la République a réclamé la condamnation des prévenus pour "séquestration" avec la circonstance aggravante de bande organisée, sans retenir le délit d'entrave à la liberté du travail.
SOUTIENS
Au cours du procès, qui s'est tenu en juin, plusieurs personnalités de gauche étaient venues soutenir les prévenus, dont Nicolas Hulot, Benoît Hamon et Arlette Laguiller.
Dans cette affaire, il n'y a pas eu d'enquête de police mais une multitude de témoignages contradictoires et un constat d'huissier très critiqué par la défense pour son identification "dictée par La Poste" des prévenus, titulaires en grande majorité de mandats syndicaux.
Un rassemblement de soutien est prévu vers 12 h 30 devant le tribunal de Nanterre avant l'annonce du délibéré, vers 13 h 30.
Nous ne nous en attendions pas moins de Nicolas Hulot, de Benoît Hammon et de Mme Arlette Laguiller après tout séquestrons pour tout et rien ,surtout si en plus on est titulaire d'un mandat syndical
DECIDEMENT TOUT LE MONDE FAIT N'IMPORTE QUOI DANS CE PAYS
ANDRE
L'armée et les forces de sécurité syriennes ont lancé, lundi 5 septembre, une offensive à Hama, berceau de la contestation contre le régime de Bachar Al-Assad dans le centre du pays, selon un militant des droits de l'homme.
"Plus de trente véhicules militaires et de la sécurité ont fait une incursion ce matin à Hama, et des tirs nourris étaient entendus dans la ville", a déclaré le porte-parole des comités locaux de coordination, l'un des mouvements animant la révolte contre le président Bachar Al-Assad. Ce même militant a ajouté que deux personnes ont par ailleurs été tuées par des tirs de la police à Homs.
La veille, douze personnes ont été tuées dans des opérations des forces de sécurité dans plusieurs localités du nord-ouest et du centre de la Syrie, ont rapporté des militants. "Quatre personnes sont mortes à Karnaz, deux à Khan Cheikhoun, trois à Tahtaya et une à Jabala, ainsi qu'une femme à Saraqeb, par des tirs des forces de sécurité qui menaient des opérations, a déclaré ce même porte-parole. Une personne a été également tuée par des tirs des forces de sécurité sur un bus dans la ville d'Idleb[nord-ouest]."
Aticle du 5.09.2011
De tout façon ici ou ailleur qu'elle soit visible comme dans tous ces pays ou sournoise comme ici en France avec nos banlieusards la guerre ne finira qu'avec l'homme
ANDRE
Luc Chatel : "Que Claude Lanzmann se rassure"
La Shoah ne devait avoir ni survivant, ni témoin, ni récit."Par ces mots, Simone Veil ouvre le livret Mémoir et histoire de la Shoah à l'école, adressé par le ministère de l'éducation nationale à chaque école élémentaire de notre pays à l'automne 2008.
Evoquant son témoignage inlassable auprès des jeunes générations, elle ajoutait : "L'école est incontestablement le lieu où l'histoire de la Shoah doit continuer d'être enseignée." Cet impératif, je l'ai fait mien à la tête du ministère dont j'ai la charge.
Car une exigence est née du crime effroyable, issu d'une idéologie folle et raciste : témoigner, témoigner encore et toujours. Aujourd'hui, cette exigence demeure, avec toute sa force. Il en découle une conviction et un engagement pour tous les éducateurs de notre pays.
La conviction d'abord que l'histoire de la Shoah est inscrite au cœur du socle de connaissances et de valeurs que la République française entend transmettre à ses enfants, à tous ses enfants. Car l'histoire de la Shoah, on ne saurait jamais trop le dire, n'est pas seulement l'histoire de ceux qui l'ont vécue, de ceux qui ont survécu.
C'est l'histoire de l'humanité tout entière. Une histoire qu'il nous faut connaître pour tenter d'appréhender la monstruosité d'un crime inouï dans l'Histoire. Contre le silence, il nous faut enseigner. Contre l'oubli, il nous faut transmettre. Contre la négation de l'homme, il nous faut éduquer.
Enseigner la Shoah, c'est donc enseigner son histoire pour permettre à nos enfants de comprendre la seconde guerre mondiale, ses bouleversements et le monde qui en est issu. Mais pour moi, cet enseignement a aussi une visée civique. Car connaître la Shoah et comprendre les mécanismes qui l'ont permise, c'est apprécier en retour les principes de liberté et de responsabilité sur lesquels est fondée la citoyenneté contemporaine.
Mais naturellement, cet enseignement a aussi une dimension morale. Connaître la Shoah et son histoire, c'est savoir que le pire peut survenir. C'est inviter par là même nos enfants à la vigilance, à la conscience, au rejet du mal et à la quête du bien. C'est les inviter à placer le respect de l'homme au-dessus de tout.
Mais cette conviction n'a de sens qu'avec un engagement sans faille : l'école ne cessera d'être ce lieu unique où se transmet l'histoire de la Shoah, où elle se transmettra encore lorsque la parole des témoins se sera tue.
C'est bien pour cela que l'histoire de la Shoah – oui, de la "Shoah" – est enseignée à tous nos élèves, à tous les niveaux de la scolarité : à l'école, au collège, au lycée.
Je tiens à rassurer Claude Lanzmann, avec qui j'ai des contacts réguliers et que j'ai vu encore récemment : aucune instruction n'a jamais été adressée aux professeurs pour bannir le mot "Shoah" de nos salles de classe. Nos professeurs font d'ailleurs, je tiens à le souligner, un travail remarquable pour enseigner l'histoire de la Shoah.
Ma responsabilité de ministre de l'éducation nationale est précisément de mettre à la disposition des professeurs les moyens de la mise en œuvre de cet enseignement, dans toute son exigence et sa sensibilité. C'est bien pour cela que le portail shoah.education.fr a été créé en 2008 pour les professeurs des écoles.
C'est bien pour cela que nous travaillons en toute confiance avec la Fondation pour la mémoire de la Shoah et que nous renforçons, année après année, notre partenariat avec le Mémorial de la Shoah.
En janvier 2010, j'ai souhaité accorder à cette institution, qui fait autorité, l'agrément du ministère de l'éducation nationale et je constate aujourd'hui avec satisfaction le développement des formations qu'elle organise pour nos professeurs dans les académies.
En janvier 2011, j'ai signé, avec le Mémorial de la Shoah, une convention-cadre qui retrace la diversité de notre action conjointe et inscrit notre partenariat dans la durée. Elle débouchera d'ailleurs, en janvier prochain, sur la création d'un site de ressources pédagogiques destiné à accompagner les professeurs dans leur enseignement.
Plus que jamais, l'éducation doit être le meilleur rempart contre toutes les formes de négationnisme, d'antisémitisme et de racisme.
Article paru dans "Le Monde " le 5.09.2011
ANDRE
Bon début de semaine , surtout pour ceux qui ont repris le travail
ANDRE